L’histoire de Lil Jojo

L’histoire de Lil Jojo

Eric FOFI, Magloire TOKAREVA et Kylian YANG – 4e A

Enseignante : Mme Amourette

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Chicago, 23 heures. Quelqu’un vient de mourir. C’était un ‘drive by shooting’. Les policiers se rendent sur les lieux du crime. La victime, c’est le rappeur célèbre de Chicago, Lil Jojo. Il s’est fait abattre, une histoire de gang vient de commencer.

Tout cela a débuté sur Twitter, les deux gangs s’affrontent, l’un d’eux se ‘dissing’ le rappeur.

Chief Keef clashe Lil Jojo. Ce dernier lui répond en créant une musique intitulée BDK, pour Black Disciples Killer. Les B et D signifient Black Disciples, ses ennemies, et le K, Killer. Le gang de Lil Jojo est le GD : Gangster Disciples.

Après ce son BDK, les BD veulent tuer Lil Jojo. Tous les GD sont sur leurs gardes : la tête de Jojo est mise à mort.

22 heures, Jojo prend un vélo et décide de faire un tour. Il a posté un tweet assassin sur twitter. Ses rivaux réussissent à le localiser, il n’est pas sur son secteur.

23 heures, Lil Jojo fait du vélo quand une voiture arrive derrière lui et l’abat froidement au fusil à pompe.

Les criminels demeureront impunis, soupçonnés mais non incriminés.

Le GD n’est plus, mais le Jojo World assure la relève.

L’enfant fantôme

L’enfant fantôme

Enola LEDOS – 4e B

Enseignante : Mme Amourette

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Salut, moi c’est Mélyne, j’ai 14 ans et je suis morte.

Vous vous demandez sûrement comment je peux vous parler si je suis morte. Et bien c’est mon esprit qui s’adresse à vous ! Comme je vous le disais, je suis morte et je vais vous raconter mon histoire.

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‘Flash spécial…’

“-Oh les enfoirés, ils m’ont coupé ma musique !

‘Nous venons d’apprendre qu’un peu partout dans le monde, un goupe de terroristes a déclenché des attentats à la bombe de peinture ayant pour but de tuer des gens et de repeindre le monde en rose.’

– Sérieusement, c’est des malades ! Ils savent plus quoi inventer ! Pff.

J’entends ma jumelle grogner…

– Tu sais que t’es en train de parler toute seule ?

– T’AS DIT QUOI ???

– TU SAIS QUE TU ES EN TRAIN DE PARLER TOUTE SEULE ???

– QUOI ?! ATTENDS, JE BAISSE LE SON !

je baissai le son.

– Donc tu disais quoi ?

– Je disais : t’es en train de parler toute seule !

– Et ça fait quoi ?

– Ça fait que t’es chiante !

– T’es sérieuse ?!

– Oui !!!

– La vérité, tu me saoules, me parle plus !”

J’entendis claquer la porte.

J’attendis 5-10 minutes pour être certaine qu’elle ne reviendrait pas et allai fouiller dans sa chambre. Je mis la chambre à l’envers, je dépliai les chaussettes, enlevai la couette de sa house, retournai le matelas, vidai les pots à crayons, j’arrachai les feuilles de ses cahiers, et regardai dans la house de son oreiller qui était par terre. Je trouvai son téléphone.

Ah ! Je me sens bête d’un coup.

Je l’allumai et tapai son code pin.

Bon, passons au déverrouillage, alors premier essai de mot de passe, hum voyons : Mélyne échec.

Ah mince, ça aurait été trop cliché. Essayons Julie échec. Tiens, j’aurais jurer qu’elle était narcissique.

Bloqué – réessayez dans 10 minutes.

J’entendis un raclement de gorge. Oups…

Ma sœur se trouvait là, devant moi, avec ses nouvelles mèches roses très mal faites. Beurk, y’a que ma sœur pour aimer le rose. Notre mère appela Julie pour qu’elle descende.

“-On n’en a pas fini toutes les deux.” me prévient-elle avec un regard noir.

Je partis en courant dehors en lâchant un bref “je reviens” à ma mère et sortis de chez moi.

Je vis des oiseaux roses passer, ils s’y sont tous mis ou ça se passe comment ?

Tiens, y’a la vieille église qui est re-skouatée. Euh, pourquoi Julie vient-elle d’en sortir ?

Vite faut que je me cache ! Mais où ? Ah, y’a un buisson, vite vite vite !!!

C’est bon elle ne m’a pas vue. Ouf.

Bon alors, on fait l’espionne ; personne à gauche, personne à droite, personne devant, et personne derrière. Bon j’y vais !

J’arrivai très vite devant le vieux bâtiment et pénétrai à l’intérieur.

C’est chelou ici ! Oh, y’a un gars là-bas !

“- Mélyne ?! Mais qu’est ce que tu fais là ?

– Tony ?! Je te retourne la question !

– Je ne suis pas Tony…

– Euh si, tu es Tony Blanchard !

– Non ! Ceci est une fausse identité ! Mon vrai nom est Saphir ! J’ai dû changer d’identiter à cause des attentats que j’ai déja commis !

– C’est une blague ? Où est la caméra cachée ?

– Ce n’est pas une blague ! L’attentat de New-York, les deux tours jumelles eh bien, c’est moi qui l’ai commis !

– Ow, d’accord je te crois maintenant. Donc c’est toi qui as fait les attentats à la bombe de peinture rose ?

– Oui ! Pas mal comme idée non ?

– Si tu le dis.

– Qu’est ce que c’est que tous ces boutons sur cette machine ?

– Euh c’est rien, c’est un projet de sciences pour euh… le lycée !

Je m’approchai de la machine.

– Et il sert à quoi ce bouton rouge ?

– Euh, non ne touche pas à ce bou…

Et là, sans le vouloir, j’appuyai sur le bouton… Toute la machine se mît à s’affoler, des voyants de toutes les couleurs s’allumèrent et se mirent à clignoter.

Et là d’un coup tout explosa.. La ville, le pays, la Terre…

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Salut, moi c’est Mélyne, j’ai 14 ans et je suis morte.

Vous vous demandez sûrement comment je peux vous parler si je suis morte. Et bien c’est mon esprit qui s’adresse à vous !

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L’esprit de Mélyne était condamné à errer dans le vide et à raconter son histoire pour l’éternité…

Le tueur aux origamis

Le tueur aux origamis

Lotfi MEHENNAOUI et Jolan MESANGE- GORGEON – 3e C

Enseignante : Mme Surmely

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Un après midi ensoleillé, Jean le père, Kevin le fils âgé de 7 ans et Léa la mère, étaient sortis pour déjeuner dehors dans le parc du coin. Kevin était tout heureux. Après le déjeuner, de retour chez eux, Léa décida de faire une petite sieste. A son réveil, Kevin avait disparu, son père Jean était parti en promenade peu avant le début de son sommeil. Léa chercha partout dans sa chambre, elle crut que son frère jouait à cache cache, elle chercha dans les moindres recoins mais elle comprit qu’il avait bel et bien disparu. En fin d’après midi, ils partirent au commissariat pour signaler la disparition de Kevin, après avoir cherché pendant des heures. Au poste, ils racontèrent ce qui s’était passé à un agent de police. La mère avait rendez-vous avec la psychologue pendant que Jean parlait avec le policier qui se trouvait être un ami d’enfance. Il lui donna rendez vous dans un restaurant de la ville dans soixante douze heures pour que l’histoire soit plus claire. Jean rejoignit à son tour la psychologue et accusa sans détour Léa de cette disparition. Jean et Léa se disputèrent. Pendant ce temps le policier, ami enfance de Jean, trouva des indices très suspects sur Léa. Il la plaça en garde à vue.

Quelques mois plus tard, Paul le policier et Jean étaient devenus meilleurs amis. Jean n’avait plus contact avec son ex femme. Les deux hommes pris par le travail, partirent en Angleterre pour changer d’identité et prendre une nouvelle vie. Léa, quant à elle, se faisait harceler nuit et jour par une personne inconnue qui lui laissait des origamis sur la table à manger de sa maison, elle se demandait ce que c’était jusqu’au jour où elle en ouvrit un puis trouva une enquête qu’elle devait accomplir pour trouver son fils. Elle avait découvert qu’il n’était pas mort, elle alla le raconter à un policier mais il ne la crut pas : elle rentra donc chez elle où elle trouva une boite avec une arme blanche et un origami. Elle l’ouvrit et trouva une photo avec un texte qui lui demandait d’assassiner sa meilleure amie avec laquelle elle avait le plus d’affinité, elle pensa pendant des heures à son fils et à cette mission qu’elle devait accomplir pour le retrouver. Elle décida, après de longues heures, de choisir la vie de son fils. Léa prit donc l’arme et son téléphone et donna rendez vous à sa meilleure amie dans un endroit discret. Sa meilleure amie la rejoignit après son travail dans le parc où avait disparu Kevin, à 22h30. Elle attendait impatiemment avec l’arme dans son sac, elle vit sa meilleure amie s’approcher en stress, elle commença à parler et à marcher dans le parc. Elle attendait le bon moment. Elle lui raconta tous ses problèmes avec son ex-mari Jean, elle la laissa marcher un peu devant et lui planta le couteau dans le dos. La victime tomba raide morte. Léa effaça les traces puis rentra chez elle. De retour dans son appartement, elle trouva une lettre qui lui disait qu’elle était observée et qu’elle avait réussi sa mission. Elle trouva la carte d’identité d’une personne qu’elle semblait connaître, elle sut que c’était la fin pour lui mais en ouvrant l’origami elle lut qu’elle devait seulement faire des recherches sur la personne en question. Elle rechercha tout sur elle : son domicile, son numéro de téléphone, son lieu de travail… mais ses recherches furent vaines. Le tueur aux origamis lui laissa pourtant un indice : il travaillait en Angleterre. Léa fit directement le lien avec son ex-mari. Elle prit un billet d’avion pour Londres. Arrivée sur place, elle se rendit dans un poste de police pour retrouver son ex mari. Après quelques minutes, un policier trouva des renseignements, il lui dit qu’il avait été arrêté pour trafic de drogue et meurtre en pleine ville. Jean se trouvait, toujours accompagné de son meilleur ami Paul, dans la prison la plus sécurisée de tout le pays. Alors elle demanda à le voir. Après quelques jours d’attente, elle put enfin le rencontrer et l’interroger. Elle lui demanda les raisons de son changement d’identité. Ce dernier lui répondit sans détours qu’il avait changé d’identité parce qu’il avait enlevé Kevin pour beaucoup d’argent, une nouvelle vie et qu’il n’allait plus travailler. Elle répondit instantanément en lui demandant où se trouvait son fils, son petit Kevin. De rage, elle le frappa à la tête. Il lui répondit en riant qu’il l’avait tué pour encore plus d’argent. Léa, sous le coup de la colère et de l’incompréhension lui redonna plusieurs coups à la tête sans s’arrêter. Plusieurs gardiens de la prison la stoppèrent. Léa tomba en larmes en disant qu’elle avait tué sa meilleure amie pour Kevin. Jean fut mis à mort ainsi que Paul pour avoir été son complice. Quant à Léa, elle fut emprisonnée pendant 20 ans.

Le Meurtre à la Carte

Le Meurtre à la Carte

Timéo BEAUX et Michaël BIRSAN – 4e B

Enseignante : Mme Amourette

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« -Du sang partout ! La gorge tranchée !

– Attendez, reprenons depuis le début, ce sera plus simple pour le processus.

– Ok, donc moi, c’est Marco. Moi, ce que j’aimais faire depuis tout petit, c’était de la magie. Moi ce que j’aimais, c’était impressionner mes potes au lycée juste avec des cartes, mes mains ou des petites babioles.

Cela faisait des mois que j’attendais mon admission à l’académie RixYouD, une école de magie très réputée dans un petit quartier bourgeois de Toronto. Là-bas, on pouvait s’instruire parmi les plus grand du monde de la magie. Houdini y avait étudié puis y avait enseigné.

Un jour je reçus une enveloppe étrange, qui, contenait une plume et un parchemin.

– Et qu’est-ce qu’il y était inscrit ?

– :

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Admission

Cher(e) magicien(ne).

Nous sommes heureux de vous annoncer votre entrée à RixYouD Academy. Nous vous donnons rendez-vous le 1er janvier 1998, devant le bâtiment de Casa Loma, à Austine terrace Street. Vous y retrouverez un groupe de futurs élèves comme vous, et un guide qui vous aidera à vous orienter dans la Casa Loma.

En venant, vous vous engagez à rester 6 ans à RixYouD Academy. Merci.

Cordialement, le Directeur

RixYouD

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Je lisais ce message et courus montrer la lettre à mon père. Stupéfié par la nouvelle, il me serra dans ses bras.

Quelque temps plus tard, quand ce fut le grand jour, le jour J, il m’emmena à l’aéroport le plus proche de chez nous et je pris un billet pour le premier vol vers Toronto. Une nouvelle aventure s’offrait à moi !…

A mon arrivée à Toronto, je fus accueilli par un taxi qui me conduisit tout droit à la Casa Loma. Et comme prévu, le groupe de jeunes élèves et le guide étaient présents. La Casa Loma était immense, j’étais surpris, je m’habituai assez rapidement à l’établissement et aux cours. Il y avait un cours que j’appréciais particulièrement, celui de Mr Henrick, sur la métamorphose. Il y avait plusieurs groupes dans l’académie dont celui de Steven qui m’embêtait souvent, mais je gardais mon calme et restais serein. Une bande de filles se moquait aussi de moi. Je n’avais pas vraiment d’amis. Mr Henrick me disait souvent que j’étais spécial, je ne comprenais pas pourquoi, peut-être parce que… Euh, madame je pourrais aller prendre un verre d’eau s’il vous plaît ?

– Oui bien sûr, il y a un distributeur en bas si tu veux, tu peux te prendre aussi un petit gâteau, tu diras que c’est pour moi.

– D’accord, merci beaucoup.

Une dizaine de minutes plus tard.

– Ah tu es revenu, tu a pris quoi, dis-moi ?

– Euh, j’ai pris un Bounty.

– Ok, donc reprenons, tu disais que Mr Henrick te trouvait différent non ?

– Oui, en fait, au fond de moi j’étais un peu d’accord : je n’avais pas d’amis, je restais avec les profs à la fin des cours, bon, c’est vrai qu’ ils me passaient des bonbons et autres. Les profs étaient sympa avec moi.

Les année passaient mais étaient toutes pareilles, c’était comme un film en boucle, en fait. Jusqu’au moment où Mr Henrick me proposa une expérience que j’acceptai, après tout, je n’avais rien à craindre avec lui. Pourtant, tout ne se passa pas comme prévu, il voulait se métamorphoser grâce à une fiole qu’il avait concoctée lui-même, il me dit qu’il voulait totalement changer d’identité. Curieux, je désirais en savoir plus et lui demandai qui il voulait devenir, mais il ne me répondit pas.

Le moment venu, il prit la fiole et la sentit. Il s’arrêta net et la lâcha. Je voulus la rattraper mais c’était trop tard, le mal était déjà fait. D’un coup, il devint fou. Je bloquais, j’étais comme paralysé. Je me réveillai dans un bain de sang. A côté de moi gisait Mr Henrick, la jugulaire tranchée. J’avais une carte à la main avec marqué : ‘désolé’. »

Laura a disparu

Laura a disparu

Eugénie RATTIER – 4e C

Enseignante : Mme Amourette

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Il est 12h00, le lundi 11 septembre 2016. Une jeune fille qui s’appelle Laura, rentre chez elle pour manger. Comme elle habite à Bayeux, elle doit prendre le train puis le bus. Elle sort du train vers 13h04, elle prend le bus à 13h09, elle sort du bus à 13h16, puis elle marche pour rentrer chez elle. Un camion noir passe devant elle et s’arrête, un homme en sort, il court en direction de Laura. Elle a peur alors elle court elle aussi, il la poursuit pendant plus de 10 minutes. Laura croit qu’il est reparti, elle arrête de courir et d’un seul coup… elle sent que quelqu’un lui enserre les épaule. Elle essaye de se défendre mais l’homme lui met un couteau sous la gorge, il l’emmène dans le camion. Il la met dans le coffre et l’enferme. Laura crie le plus fort possible mais personne ne l’entend. La pauvre fille fond en larmes. Le camion s’arrête, le chauffeur la sort du camion et comme elle essaye de se défendre, il lui met une gifle. Il la traîne dans une grange, la jette par terre et l’enferme. Laura crie :

« Au secours, aidez-moi, à l’aide ! ».

Personne n’entend. Elle pleure sans s’arrêter, il est 16h47, l’homme revient dans la grange. Il lui apporte à manger et à boire. Elle lui dit « Merci, mais s’il vous plaît, ramenez-moi chez moi ! » L’homme lui répond « Non maintenant tu es à moi ! » Laura lui répond en sanglotant « Mais… Je vous en supplie, au moins dites-moi comment vous vous appelez ? » L’homme lui répond « Ne pleure pas, sois courageuse et ça ne te regarde pas mais si tu insistes, je m’appelle Freddie. » Il part. Laura passe la nuit dans la grange attachée à une poutre. Laura n’arrive pas à dormir, elle n’arrête pas de pleurer et de penser à sa famille et ses amies. Les yeux baignés de larmes, Laura dit « J’ai peur maman, papa à l’aide ! » Il est 5h41 Laura n’a pas dormi de la nuit, ses yeux sont lourds et son visage sans cesse rempli de larmes. Elle pense à son agresseur et se rappelle de son prénom ‘Freddie’, dans sa tête, elle n’entend plus que ça : Freddie, Freddie, Freddie ! Elle sursaute et hurle à haute voix «Freddie !» C’est le prénom d’un personnage dans un film, c’est le prénom préféré de son père et c’est son prénom préféré aussi… « Papa ! » « Papa ! » « Papa, je sais que c’est toi qui es derrière tout cela !» Freddie arrive et lui dit « Mais qu’est-ce-que tu racontes ? » Laura le regarde droit dans les yeux et lui dit « Je sais que c’est toi papa ! Enlève ce maquillage, je reconnais tes yeux !» Freddie, démasqué, lui fait un câlin et lui chuchote dans l’oreille « Je suis désolé, ma puce, je voulais te faire comprendre les dangers auxquels tu t’étais exposée quand tu as fugué. Tu nous as fait énormément de mal… » Laura lui répond « Mais papa, ça date de l’année dernière, je regrette, je suis désolée, je n’avais pas mesuré ta souffrance. » Son père lui fait un bisous sur le front et lui dit « C’est bien que tu admettes tes erreurs et que tu en tires les conséquences justes. » Laura et son père retournent chez eux et tout finit bien.