Le bruit mystérieux

Le bruit mystérieux

3e A

Enseignante : Mme Léandri

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C’est l’histoire de Lisa qui rentrait de la piscine. Arrivée chez elle, elle dîna et regarda un film avant d’aller se coucher. La soirée se passait bien.

C’est alors qu’elle entendit bruit . Elle alla voir et regarda. Il n’y avait rien. Bizarre. La jeune femme décida daller malgré tout se coucher. Entendant à nouveau des bruits qui ressemblaient vaguement à des pas, elle décida alors d’enfiler une veste militaire et prit un revolver qui était caché sous son lit pour effrayer un éventuel cambrioleur.

Soudain, des gouttes d’eau semblèrent tomber sur le sol de la salle de bain. Pensant que le robinet était mal fermé, elle essaya de le fermer correctement mais en fait ce n’était certainement pas le robinet qui faisait ce bruit. Rien.

Un souffle lui fit penser à des paroles telles que :

“Tu as peur!”

Ça ne pouvait être que le vent. Elle revint dans sa chambre se recoucher sans enlever le déguisement car si ces choses bizarres revenaient, elle pourrait se relever rapidement. C’est alors qu’elle sentit un grand vent froid. Descendant les marches en courant, elle ouvrit sa porte et sortit. Dehors le vent d’hiver soufflait en rafales. Rien à l’horizon…

Elle rentra chez elle, ferma bien la porte et alla se coucher. C’est alors qu’un “toc toc” retentit dans le silence. Le robinet de la cuisine était-il mal fermé ? Revenant sur ses pas, elle trébucha dans l’obscurité sur une masse sombre. Son chat mort dans un coin de la maison !

Rien, il n’y avait rien dans cette maison et pourtant des choses étranges se passaient !! Que faire ?

Elle tomba par terre en pleurant, prit son téléphone et appela la police.

La police arriva sur les lieux très rapidement. Elle expliqua toute l’histoire. Les hommes entrèrent dans la maison pour voir ce qui pouvait se passer.

L’un de ces hommes raconta à la jeune femme horrifiée que l’on racontait au village que dans cette maison, la légende disait qu’une femme s’était pendue il y a bien longtemps, un mercredi 13 janvier.

La vie d’une jeune adolescente

La vie d’une jeune adolescente

3e A

Enseignante : Mme Léandri

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Je vais vous raconter mon histoire. Je m’appelle Mia, j’ai 12 ans et je vis dans un petit village dans le Nord du pays. J’ai vécu un lourd passé suite au décès de mes parents, il y a bientôt 2 ans jour pour jour, suite à un accident de voiture ! Mon frère Max âgé de 24 ans s’occupa de moi et de Michael mon frère de 14 ans. Max avoue que cela est loin d’être facile, lui-même en dépression depuis bientôt 4 mois ! C’était sans doute normal ? Après tout perdre ses parents à l’âge de 10 ans est loin d’être facile.

Moi, je me suis un peu renfermée sur moi même, je ne parlais presque plu s! Mon seul bonheur ? Si je puis dire l’équitation !

J’adore aussi mon frère Michael, plus que tout ! Il est tout pour moi. Un beau matin d’avril Michael se leva brusquement et sans prendre son petit déjeuner s’apprêta à partir…

Lorsque je me levai, je lui posai une simple question : « Que se passe t-il ? D’habitude tu m’attends avant d’aller en cours, je n’en ai pas pour longtemps à me préparer, tu sais !»

Michael me répondit très vite :

– Pas aujourd’hui princesse tu feras la route seule… Je te rejoindrai au collège ! »

L’air inquiet, il partit en me disant un timide : « Je t’aime. » Mon cœur battait la chamade. Sans doute je sentais que quelque chose n’était pas net ! Cachait-il quelque chose ? Ou… avait-il besoin de prendre du recul ? Toutes ces questions m’envahirent et un terrible doute m’assaillit ! Je me préparai rapidement car le temps devenait restreint. Je m’habillai, me brossai les dents puis partis angoissée toujours en pensant qu’il m’avait menti ! Une petite pensée positive me remonta le moral, une petite source d’espérance. Mon frère devait déjà se trouver au collège ! À quoi bon stresser après tout ! J’arrivai face au collège des Pommes d’or, Je regardai ma montre, 8h18 et 30 secondes encore en retard comme chaque jour ! A peine rentrée dans le collège, la sonnerie retentit ! Je me faufilai entre les élèves qui se bousculaient entre eux et je regagnai tranquillement mon rang…

Deux heures de cours s’écoulèrent mais pour moi ce fut une éternité ! J’avais attendu la récréation avec impatience. Je descendis les escaliers à une allure dévastatrice. Je cherchai partout, dans les moindres recoins de la cour : aucune trace de lui !

Je me dis, qu’ il n’ était peut être pas encore sorti ! Après tout, cela ne faisait que cinq minutes que cela avait sonné. Ma meilleure amie Anaïs resta avec moi et me rassura… Au bout de cinq minutes toujours rien ! Je cherchai désespérément et puis pourquoi ne pas demander à la vie scolaire ?… La surveillante m’interpella dans le couloir ! Un timide dialogue s’installa :

«- C’est bien toi MIA CANDLEFOREST ?

– Oui c’est bien moi, que se passe t-il ?

– Ton frère MICHAEL CANDLEFOREST n’est pas en cours aujourd’hui, connais-tu les raisons de son absence ?

– Non, mais il était très différent ce matin… Il m’a dit qu’ il me retrouverait au collège… il m’a menti, je crois.

– Je suis désolée Mia… »

La sonnerie retentit à nouveau : plus que deux heures de cours et je serai enfin libre, j’en saurai plus sur cette affaire !

Après les cours, je me précipitai, prise de panique sur le chemin du retour mais prête moralement à en savoir plus. J’avais essayé de le joindre mais il ne répondait toujours pas en dépit de mes trente messages envoyés depuis ce matin ! A croire qu’ il m’avait complètement oubliée ! Je rentrai chez moi et ne vis personne, aucun signe de vie. Mon frère Max était parti travailler. Je fouillai dans chaque recoin de la maison et bien sûr je ne vis personne. Je décidai de chercher d’éventuels indices. J’allai dans sa chambre malgré son interdiction mais là malheureusement, je n’avais pas trop le choix : c’était une situation d’urgence ! En ouvrant la porte je fus agressée par une odeur horrible de chaussette et un bazar monstrueux… Je comprenais mieux maintenant pourquoi il ne me laissait jamais entrer. Sur son lit des vieux livres et des albums photos de voyage, ceci ne m’aiderait pas à grand-chose… Bien sûr il m’avait parlé d’un éventuel voyage mais ce n’était pas pour tout de suite ! Je trébuchai et me fis très mal à la cheville.

Impossible de la poser au sol, je m’assis sur la chaise du bureau et vis un ordinateur ! La curiosité prit le dessus sur ma timidité, j’allumai l’ordinateur, manque de chance, il fallait un password !

Je soupirai… Qu’est-ce que ceci pouvait être? J’en essayai plus d’un mais toujours cette même phrase MOT DE PASSE INCORRECT qui se répétait !

Je décidai d’abandonner, me levai toujours avec ce mal en moi … Je boitais puis fouillai à droite, à gauche! Je savais que ceci n’était pas très bien mais… Avais-je le choix ? Je cherchai et ne trouvai rien d’intéressant…

Quand soudain une lettre froissée dans la poubelle, attira mon attention.

Chère sœur, cher frère

Je ne pensais pas avoir à faire ce genre de lettre un jour ! Mia si tu trouves cette lettre je dois sûrement être déjà parti, je voulais que tu saches que je t’aime et que je t’oublierai pas, je reviendrai vite. Je te le promets !

Cette lettre je l’ai relue au moins 100 fois! Je n’y trouvai aucun sens. Etait t-il vraiment partit? Toutes ces questions résonnaient dans ma tête ! Ou était t-il parti… et pourquoi ? Je composai son numéro en espérant une réponse mais évidement c’était à nouveau le répondeur…Je décidai d’appeler Max.

Il avait pris son après-midi, car moralement ça n’allait plus ! Je n’étais pas au collège également… Max arriva et me posa toutes sortes de questions très difficiles, on chercha dans tous les recoins de la chambre d’éventuels indices. Quand soudain je vis gravé sous son ordinateur je cite «345 652» Sans doute le password et je vis également des lettres gravées «MMM&DAESH».

Choquée je demandai à Max de me rejoindre. Il me dit que je devais essayer un de ces codes… J’exécutai le password à 6 chiffres ! Je tremblai tant que mes doigts tapaient n’importe quoi ; je n’avais jamais tapé aussi vite sur une touche de clavier et là après un petit instant c’était MOT DE PASSE INCORRECT … J’essayai sans trop hésiter le fameux mot de passe assez surprenant et stressant à la fois et après quelques secondes sans aucune réponse, l’écran d’accueil apparût, j’avais réussi à trouver le code.

Et là c’était l’ordinateur qui ne répondait plus, la souris ne fonctionnait plus du tout! J’interpellai Max qui me retrouva ! On attendit de longue minutes quand soudain des pages Google s’ouvrirent par dizaine !!!

Le malheur de découvrir de quel sujet ceci parlait… On voyait des morts sur certaines pages mais causés par le Djihad ! Puis sur d’autre pages on y voyait des questionnements du types « Comment y partir ? », etc.

J’avoue avoir été choquée des preuves assez surprenantes que je ne pouvais à peine croire ! Je les fermai toutes, honteuse de penser que mon frère était un terroriste !

Je fermai chaque page ; la dernière page parlait du Pérou et je n’y voyais aucun rapport !!! Une enquête fut ouverte dès la première journée. Le lendemain Max reçut un appel ! Mais pas de n’importe qui, d’un policier qui nous annonça que notre frère était bel et bien parti du pays ; de nombreuses preuves avaient été découvertes, notamment grâce à la caméra de surveillance de l’aéroport le plus proche, où il s’était rendu très tôt la veille! A la télé les médias diffusaient en masse la photo de mon frère en disant qu’il était un terroriste et sûrement responsable de l’attentat d’hier soir en Syrie ! Au collège une réputation s’est vite installée.

Je ne me sentais plus à ma place, les gens se moquaient en me voyant. Parfois même je les entendais dire en chuchotant : « Ah c’est la fille du terroriste !… » Cela me faisait énormément de peine, je ne voulais pas y croire mais après tout ils avaient sûrement raison !!! En 3 jours tout a vite changé ! On nous a alors forcés à déménager.

Les voisins avaient peur d’être mêlés à des problèmes. Ils ne se sentaient soi-disant pas en sécurité, nous n’avions pourtant rien demandé et étions même très confus de la situation… En plus de me voler ma maison on m’a forcée à changer complètement d’identité… Soit- disant trop dangereux maintenant que tout le monde me connaissait sous le nom de Mia, vous ne pouvez pas imaginer comme je pouvais en vouloir aux médias !!! Mon nom, mon identité, tout a changé ; je ne m’appelais plus Mia mais… Mathilde ! Et mon frère Max… Martin… Je ne m’y faisais pas ! C’était dur à encaisser tout ça, mais je ne sais pas si je devais lui en vouloir à Michael, il me manquait.

Et son absence était dure à supporter ! Un bon mois s’écoula… Je commençais à m’habituer à ma nouvelle vie Mathilde me plaisait bien ! Mon frère me manquait au quotidien. Mais mon nouveau collège ne se doutait de rien, trop naïf de ce que les autres croyaient de moi ! J’ai de nouveaux amis ! Le soir je repensais à mon « ancienne vie », si je puis dire… Mais quelque chose me dit qu’un jour, tout reviendrait à la normale !

La veille de mon anniversaire, tout était calme la routine du soir et un silence comme la plupart du temps j’avoue que c’était dur mais je commençais vraiment à y croire après tout l’ambiance n’était plus pareil sans lui… Mon frère un modèle pour moi, disparu !!! Pourquoi nous aurait t-il cacher ce qu’il souhaitait faire… Ce soir là, j’ai décidé de retourner dans sa chambre pour y trouver un livre parlant d’un sujet pour les cours ! Je me dirigeai vers la chambre et en ouvrant la porte je commençais à revivre des moments… sans doute imaginaires !!! Rien n’avait bien changer … Je décidai de revoir ses photos dans l’album photos qui était posé sur le lit ! A la surprise de voir ce qui s’y trouvait. Des souvenirs ancrés dans ma mémoire… mais la joie de découvrir ce que la fin contenait : une lettre !

Le 25 mai 2015 No title

Je ne trouve pas quoi mettre en titre dans cette lettre ce soir !! Mais j’avais besoin de parler…à quelqu’un qui ne lira pas cette lettre ! Qui j’espère ne la trouvera pas. J’aimerais faire plaisir à une personne qui compte énormément pour moi … Je n’ai pas toujours été là quand il le fallait et je pense que je devrais faire quelque chose ! J’ai pas mal d’idées assez chouettes pour lui plaire mais cela devrait prendre un peu de temps à préparer !!! … J’espère qu’ils ne s’inquiéteront pas pour moi, mais les études commencent à sérieusement me saouler, les recherches sur la Syrie et les terroristes… Dans quel pétrin me suis-je fourré ; j’espère partir très bientôt !! Oui, car j’ai l’intention de m’installer dans ce magnifique pays, le Pérou… Mais ceci va me prendre beaucoup de temps, le plus dur sera de leur mentir.

Max

C’est alors que j’entendis un bruit sourd du côté de la porte : c’était quelqu’un qui frappait à la porte, sous les coups de neuf heures et demi ; je me demandai qui cela pouvait être ! Surprise de cette intrusion sonore, j’ouvris la porte. C’était juste le facteur qui nous donnait une lettre !

Mon frère et moi regardâmes cette enveloppe colorée, étranges couleurs pour un courrier !

Mon intuition me disait qu’il y avait quelque chose de singulier dans ce courrier. Mon frère et moi posâmes cette lettre sur la table.

Lorsque nous nous décidâmes à l’ouvrir , le choc !

Une photo de mon frère devant un palace au Pérou ! Tout ceci était vrai…

C’était mon frère.

La machine à laver

La machine à laver

3e A

Enseignante : Mme Léandri

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C’est l’histoire d’une famille très riche, qui vivait dans une grande maison. Ils avaient une femme de ménage qui s’appelait Sema-Nur. Un jour celle-ci alla laver les vêtements de toute la famille. Pendant que la machine tournait, elle alla faire les courses pour le soir. Une demi-heure plus tard, le mari de la femme, Sami rentra du travail. Dès qu’il franchit le pas de la porte, il entendit des bruits ; il se dirigea vers la salle de bains et entendit un bruit bizarre, la machine tournait et il y avait des sons étranges. il ouvrit la porte et découvrit avec horreur son fils Yassine ! Il ressentit une émotion atroce. C’était son fils, sa chair ; il était certainement perdu. Il commença à s’agiter. Il paniquait. Il réussit quand même à prendre son fils dans la voiture et prendre la direction des urgences. Pendant le trajet, il réfléchit. Il était certain que c’était la femme de ménage car elle était souvent bizarre avec ses enfants ; peut être qu’elle ne les aimait pas car elle n’en avait jamais eu. On avait l’impression qu’elle était jalouse de la vie de ses patrons.

Arrivé aux urgences, les médecins lui posèrent des tas de questions pour savoir ce qui s’était passé, pourquoi le bébé ne respirait plus. Il ne savait pas quoi répondre car lui même ne savait pas ce qui s’était passé.

Les médecins de l’hôpital se concertèrent et décidèrent d’appeler la police ; ils trouvaient étrange cet homme qui arrivait tout seul et qui ne semblait rien connaître de l’état de son propre enfant.

La police, arrivée sur les lieux, interrogea l’homme et lui demanda ce qui s’était passé.

Encore choqué il répondit :

«  – Je rentrai du travail quand j’ai entendu des cris survenant de la salle de bain ; en y rentrant je le vis là dans la machine à laver…

-D’accord, dites à votre femme que nous venons à la maison, nous voudrions aussi l’interroger. »

Les policiers étaient eux aussi outrés de ce qu’ils venaient d’entendre.

Ils partirent pour la maison du couple afin d’aller voir par eux-mêmes les lieux du crime, inspecter les moindres détails qui pourraient les aider.

Arrivé là-bas, Sami indiqua aux policiers qu’il y avait des caméras chez lui. Cela lui permettrait de leur montrer qu’il n’y est pour rien dans l’histoire. Ils le verraient bien sur les films.

Najma arriva dans la pièce. Elle venait de pleurer, ça se voyait, son mascara avait coulé le long de sa joue. Ses yeux étaient tout gonflés et rouges. En apercevant son mari elle se remit à pleurer, il la prit dans ses bras.

Elle lui demanda ce qui s’était passé, il lui répondit la même chose qu’aux policiers, c’est là qu’elle s’effondra en larmes.

Dans la maison, les hommes de la brigade se divisèrent en deux groupes. Un groupe regardait les caméras de surveillance tandis que l’autre groupe retournait la maison de fond en comble pour pouvoir trouver des empreintes.

C’est alors qu’un policier arriva sur les lieux en déclarant qu’il avait du nouveau :

Sema-Nur était connue des services de police pour avoir tué ses propres enfants des années auparavant.

Elle avait fui l’asile psychiatrique…

Retournement

Retournement

Lilia KHEDJAM et Hugo LELEU – 3e A

Enseignante : Mme Léandri

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Un soir de pleine lune, dans une ruelle sombre, un corps ensanglanté a été retrouvé. Le coupable n’est toujours pas identifié.

Il paraîtrait que ce n’est pas son premier crime !

Nous avons eu une enfance agréable ; ma sœur et moi étions très proches. Elle était souriante, joyeuse, elle avait la joie de vivre.

Je vivais alors avec elle à NEW-YORK depuis 10 ans, dans une petite ville déserte où se promène la haine.

Un de mes passe-temps favoris était de tuer, je sais c’est étrange pour beaucoup d’entre vous.

Beaucoup de mes crimes étaient reconnus dans le pays, je faisais peur et j’aimais bien. Personne ne m’avait jamais retrouvé. C’était si excitant.

Cependant ces derniers temps, beaucoup de policiers rodaient dans les parages à la recherche du coupable, je devais trouver une solution à cela.

Pendant des années et des années je m’étais préparé pour ce jour-J ! Je devais faire accuser quelqu’un d’autre ! Il était impossible de me penser derrière les barreaux, enfermé jours et nuits. Et l’idée de ne plus tuer me faisait froid dans le dos.

Ma sœur était partie ce jour-là, c’était le moment de mettre mon plan à exécution. Je préparai mon sac, puis partis vers la maison de ma cible. Arrivé devant la demeure, j’escaladai le mur. Enfin arrivé de l’autre coté du mur je me fis discret ! Je vis une petite fenêtre entrouverte, je m’y réfugiai alors et désactivai les caméras de surveillance grâce à une onde électromagnétique qui brouillait les signaux. J’attendis le bon moment. Tout était une question de sang froid. L’homme se posa sur son fauteuil et s’endormit. C’était à moi ! Je sortis mon couteau, m’approchai de lui, sans hésiter une fraction de seconde, je plantai le couteau à plusieurs reprises dans sa poitrine ! Puis déposai à côté du mort des mèches de cheveux blonds.

Évidemment, je pris le temps de laver le lieu du crime pour effacer toute trace de mon passage. Enfin il ne me restait plus qu’à retrouver ma sœur au restaurant ; me détendre en sa compagnie après ce moment de tension. Elle semblait contente de me voir, nous parlâmes tranquillement.

Après notre repas, nous rentrâmes à l’appartement.

Le lendemain matin, ma sœur avait disparu. Où était-elle ? Que lui était-il arrivé ? Ce que j’imaginais pouvait-il s’être passé ?

J’allumai la télévision et entendis alors que le coupable des crimes avait était retrouvé et arrêté. C’était réussi ! J’avais réussi à faire accuser quelqu’un d’autre à ma place ! Cela me faisait rire ! J’adorais l’idée que quelqu’un soit puni à ma place ! J’étais donc tranquille, innocent.

Ma sœur ne rentra pas de la journée. J’étais seul dans cet appartement, et l’envie de meurtre m’envahit. Qui serait le prochain sur ma liste ? Tant de possibilités. Je réfléchis un moment. Mon voisin m’énervait de plus en plus ; entendre ses perroquets, ses petits oiseaux crier toute la journée me rendait fou. Si je le tuais, ses animaux partiraient ailleurs et je serais tranquille, et mon envie de tuer se calmerait peut-être.

Je partis alors directement chez lui.

Je sonnai, il ouvrit et à peine la porte avait-elle été ouverte que je l’assommai dans un premier temps et lui tranchai la gorge ensuite. Le sang coula à flots. Que cela m’était doux… Tuer plus… je voulais toujours plus…

Je rentrai tranquillement chez moi.

Tout à coup on sonna à la porte. La police arriva. Ma sœur était avec eux, ses cheveux blonds détachés. Elle me regardait avec des yeux remplis de haine.

Doubles faces

Doubles faces

3e A

Enseignante : Mme Léandri

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Il était 12h10… Il était l’heure de partir. Il s’empressa de mettre sa cagoule, d’enfiler ses chaussures et partit. Ses collègues l’attendaient dans un fourgon. Il regarda une dernière fois sa montre et se mit à courir, Malheureusement il en perdit sa cagoule mais il n’avait pas le temps de la ramasser, il fallait se dépêcher. Arrivé dans le fourgon la tension et le stress était à son maximum; tout le monde sortit son arme et ils prirent la route. Arrivés à destination il sortit du véhicule, son arme à la main. Il entra dans le bâtiment et prononça : « tout le monde à terre !».

Les gens criaient, les femmes était paniquées et tenaient fort leurs sacs hors de prix entre leurs mains. Les hommes eux, étaient tout aussi paniqués.

Les agents de la banque quant à eux, étaient plutôt sereins, ils étaient habitués à ce genre de situation. Les otages se mirent à terre sauf une personne qui n’avait rien remarqué ; il avait son casque sur les oreilles. Les braqueurs commencèrent à pointer leurs armes sur lui, il ne réagissait pas. C’est alors que John tira sur lui accidentellement. Paniqués, les braqueurs prirent la fuite, et retournèrent dans le camion. Arrivés dans le camion, l’un d’eux prit la parole :

«- Putain John, on t’avait dit de te contrôler, tu te souviens pas comment ça a fini la dernière fois que tu as fais ça ?

John répliqua :

– Si ! Je m’en souviens très bien, mais là, c’est pas ma faute, le coup est parti tout seul ! »

Pendant ce temps, Georges, le directeur adjoint de la banque, appuya sur le bouton rouge qui était relié au commissariat ; quelques minutes plus tard, la police était là. Le commissaire commença à poser des questions à tous les otages :

«- Comment-étaient-ils ?… »

George prit la parole pour dire au commissaire qu’il y avait des caméras de surveillance. En regardant les vidéos, un policier remarqua que le braqueur ressemblait étrangement au directeur adjoint qui d’ailleurs n’était pas présent sur les vidéos. Le commissaire se tourna vers George et lui dit :

«- Où étiez-vous vers 14 heures ?

George répliqua :

– J’étais dans la banque enfin, où vouliez vous que je sois ? »

Après 4 heures d’interrogatoire au commissariat, il ne voulait toujours pas avouer, il disait que tout le long du braquage, il était dans un des ascenseur en panne. Le commissaire décida de le garder quelques heures de plus en garde à vue.

Pendant ce temps là, John paniqué, repensait à toutes ses années de prison où il ne voulait pas du tout retourner. Pour se changer les idées, il décida d’allumer la télé quand il tomba sur BFM TV qui parlait d’un braquage dans la plus grande banque de la ville.

Le directeur adjoint de la banque était accusé d’avoir fait un braquage dans sa propre banque !

En apprenant ça, John ne savait pas comment réagir et décida d’appeler un de ses complices.

« – Allô, c’est moi John, t’as vu les infos sur BFM?

– Nan, j’ai pas vu, y’a quoi ?»

John lui raconta tout ce qui se passait aux informations.

Pendant ce temps là, au commissariat, George était alors transféré aux Baumettes car les preuves étaient beaucoup trop accablantes. Il resta un bon moment assis dans un coin de sa cellule à penser à comment il allait pouvoir s’en sortir… Après quelques heures de réflexion, il décida de s’évader de la prison.

John se demanda s’il allait laisser quelqu’un se faire accuser à sa place ou bien partir au commissariat se dénoncer. Il passa sa nuit à penser à ce qu’il allait faire. Le lendemain, il avait pris sa décision : il allait se dénoncer.

George vérifia sa cellule, il trouva par terre un morceau de fer, il regarda à droite puis à gauche, la voie était libre, il prit le bout de fer, le tordit et l’enfonça dans la serrure.

Après quelques minutes à tourner dans tous les sens, la porte s’ouvrit. George marcha sur la pointe des pieds jusqu’à la sortie, quand il atteignit la sortie, un policier lui barra la route.

Pris de panique il l’assomma, mit ses vêtements et partit.

John se dirigea vers le commissariat. Il entra dans un bureau s’assit et expliqua toute l’histoire du début à la fin. Après avoir entendu son récit, le commissaire appela la prison ou se trouvait « normalement » George pour leur dire de le faire venir. On le rappela quelques minutes plus tard pour lui dire que George n’était plus dans sa cellule. Après une nuit de recherche, on le retrouva endormi par terre aux pieds de sa banque.

C’est alors que George et John se retrouvèrent face à face. La ressemblance était plus que frappante, elle était presque surnaturelle !

On leur fit faire des tests d’ADN et le verdict tomba : ils étaient jumeaux ! John avait pris 5 ans de prison et George pu recommencer sa vie où il l’avait laissée mais tout n’était pas comme avant ; il avait un frère et il était bien décidé à le sauver.

John n’était pas bête, il avait donné à son frère, les noms et les numéros de ses collègues avant d’aller en prison. George prit contact avec, il leur expliqua l’histoire depuis le début.

Deux jours plus tard, John était libre !

Il reprit ses petites affaires sauf que cette fois, il avait un allié en plus eh oui ! George s’était «reconvertit», il n’était plus le gentil petit banquier du début !

Oh non ! Loin de là, son frère et lui étaient maintenant les deux braqueurs les plus recherchés d’Europe !