Double vie
♦ Lorenzo GAUTIER – 3e B ♦
Enseignante : Mme Llorca
-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_
Je m’appelle Jack, je suis âgé de trente ans.
Je vis à Londres, je n’ai pas de parents, je suis orphelin, on m’a trouvé devant la porte de l’orphelinat.
Je travaillais dans la police.
Je me baladai dans Londres quand je vis un stand de journaux. Je pris un journal et le lus, je m’aperçus qu’en Une, des séries de meurtres étaient annoncées.
Plusieurs années plus tard, les séries de meurtres ne s’étaient toujours pas arrêtées…
Un jour, en allant sur une scène de crime, je découvris un carnage ! La victime était tout éventrée.
Je trouvai une cigarette à côté du cadavre mais je ne relevai aucun autre indice.
Le soir, je partis dans un bar et me saoulai. Une bagarre éclata, je me battis de toutes mes forces et les mis tous K.O, je ressortis avec quelques blessures, je rentrai chez moi et dormis pour ne plus avoir la gueule de bois.
Le lendemain matin, je partis au boulot. En chemin, je vis un stand de journaux comme tous les jours, j’en pris un, je constatai qu’un autre meurtre avait été commis dans la soirée : une autre victime éventrée.
J’arrivai à la gendarmerie, ils me mirent de suite sur l’affaire, je partis sur la scène de crime et trouvai une autre cigarette de la marque Marlboro. Je ne m’attardais pas sur cet unique indice .
Je partis en soirée avec des amis de mon boulot. Nous avions trop bu et nous nous fîmes attaquer par un groupe de truands. On se battit et on les mit tous K-O.
Le lendemain je n’avais plus de cigarette : je partis au bar et m’achetai mes Marlboro.
Je repassai devant le vendeur de journaux et lui achetai un canard comme tous les jours. Un autre crime cette nuit. Je partis de suite sur la scène de crime mais je ne trouvai rien, juste une autre cigarette, encore… Cette fois je m’y intéressai de plus près et découvris que c’était une Marlboro. Une lueur de compréhension commençait à germer… Peu à peu je comprenais…
Un autre jour, sur une autre scène de crime, je découvris un gant de la même marque que les miens : des gants exactement identiques, achetés au Congo, il y a des années…
Tous les soirs je m’habillais d’un chapeau melon et d’un imperméable noir et me munissais d’un couteau de boucher.
J’étais devenu Jack l’éventreur…